La chronique du 21 avril 2020 ----- Retrouvez les humeurs et réflexions précédentes à la fin de la page web
Les métiers qui aident à passer les crises.
La pratique des métiers de l’entreprise bouge suivant les évolutions technologiques, les marchés, la réglementation ou les mentalités.
Un métier en particulier évolue aussi dans ses fondements: le Business manager. Il y en d’autres, bien sûr.
Le Business manager est le lien naturel de l’entreprise entre ses clients, la production, les équipes, les partenaires: il est impactant dans la génération de valeur et se doit d’être à la fois commercial, négociateur, animateur de son équipe, gestionnaire de compte d’exploitation, conseil de la direction générale …
En période normale, ces qualités s’exploitent au service de la stratégie de l’entreprise.
Mais en période de crise, la stratégie est mise à mal: le Business manager doit trouver ses propres priorités car c’est un tacticien et un leader, capable de créativité et d’innovations pour ses clients, comprenant leurs possibilités.
Le Business manager est au service de l’ Entreprise : vous savez, la personne dite « morale », dont on oublie trop souvent les besoins propres au profit des envies et des besoins des associés, des managers ou des salariés.
Or en cette période de crise seule devrait compter l’Entreprise elle-même afin d’en assurer la pérennité, et préserver ainsi l’intérêt commun à toutes les parties prenantes.
C’est juste mon avis.
La réflexion du mois
En ces périodes difficiles et de grandes interrogations sur notre avenir, nous ne devons pas nous replier sur nous-même: ouvrons nous aux autres. C'est le moment de changer de paradigme et de partager nos expériences: réussites, erreurs, opportunités, problèmes, "trucs et astuces", bref les informations utiles à tous.
Depuis plus de 5 ans, Avodoÿ a la mission d'aider les entreprises à se développer, être en bonne santé, afin de passer avec succès les étapes clés de leur vie: donc être pérennes.
Nous vous proposons de vous aider dans cette période difficile, en particulier les plus fragilisés (startups, TPE, PME, commerces, ...), dans la mesure de nos compétences et nos possibilités : soutien des équipes dirigeantes et opérationnelles, réorganisation du travail, recherche de partenaires, plans d'action, ... toutes les questions seront étudiées.
Cette aide est offerte durant cette période difficile pour tous et sera traitée avec le niveau de confidentialité souhaité. C'est notre façon de vous aider à passer ce cap difficile et préparer l'avenir. N'hésitez pas à nous joindre par mail. Bon courage à tous !
Une entreprise pérenne est une entreprise transmissible à tout moment par son Dirigeant, s'il le souhaite ou si c'est nécessaire.
Avodoÿ, c'est:
1- l'acteur de la pérennisation de l'entreprise, de son développement et de sa valeur.
2- le conseil proche du dirigeant, dans sa solitude et dans ses doutes.
3- la vision de l'entreprise de sa naissance à sa transmission.
Pérenniser son entreprise ? Le point de vue d'Avodoÿ
Une entreprise est vivante; elle naît, se développe, se stabilise, s'associe, décline, commence un nouveau cycle de vie, voire même plusieurs, et puis, si on n'y prend pas garde, elle meurt.
Ce cycle est naturel et ressemble à toute activité humaine (et oui, nous parlons bien d'humains à la base: l'entreprise est d'abord la matérialisation du projet d'une équipe) qui vit son ou ses cycles.
L'entrepreneur doit donc prendre conscience très tôt que la transmission de son entreprise devra être préparée soigneusement, et que pour la transmettre, elle devra donc être "transmissible". Donc qui fonctionne bien, qui a des clients et de bonnes équipes capables de travailler avec une autre équipe dirigeante, donc dépendre le moins possible de l'image, des habitudes et des décisions de l'équipe historique.
Pour être transmissible, il faudra donc en définir la "valeur objective" (la plus objective possible...) susceptible de satisfaire à la fois le cédant et (au moins) un repreneur.
La définition de la pérennité de l'entreprise devient donc: pérenne = une valeur objective définie = transmissible ... à tout moment !
Mener un "build-up" (stratégie de développement par acquisition) ?
Le "build-up" appuie une stratégie de croissance de société en menant des acquisitions d'autres sociétés de son secteur afin de créer le plus possible de synergies. Il s'agit donc de bâtir un groupe à partir d'une société "pilier", appuyée par une stratégie financière, ciblée essentiellement sur de l'endettement.
Ce développement aurait très bien pu être mené organiquement, mais sur une période plus longue et pour un coût plus important (parfois inaccessible). L'acquisition devient donc un accélérateur, donc "comprime le temps" pour arriver à un résultat réputé équivalent. Mais cette "accélération" réclame des ressources financières "en quantité suffisante et au bon moment".
Tout commence par l'ambition en termes de marché, d'offres et de positionnement. Ce qui se traduit en parts de marché, chiffre d'affaire et rentabilité à court moyen et long termes.
L'acquisition.
L'acte d'acquérir est la réciproque de l'acte de transmettre, et met en présence un "acquéreur" et un "cédant" qui n'ont pas d'intérêt commun a priori.
C'est donc une transmission dans laquelle le cédant et l'acquéreur doivent entamer un long processus commun qui n'aboutira à un succès que si les intérêts des deux parties sont alignés ... au moment de la transaction.
Cela ressemble beaucoup à une course de relais dans laquelle la taille et le poids du témoin sont à discuter, ainsi que les caractéristiques de la "zone de passage" et ce, sans connaître la longueur et la durée de la course ....
L'offre de référence pour les PME: MyDiagFlash©!
MyDiagFlash© est un diagnostic d'une journée en général, avec une restitution structurée, permettant au dirigeant d'avoir une vision synthétique de la qualité et la robustesse des grandes pratiques dans l'entreprise. C'est une photographie générale qui met en valeur les forces et les points d'amélioration de l'entreprise, ainsi qu'une analyse préliminaire des grands risques.
Toute démarche d'accompagnement commence par MyDiagFlash©, dont les résultats permettent de cibler le meilleur accompagnement opérationnel du dirigeant.
Zoom sur des métiers à connaître
Le coaching et le conseil partagent cette vérité : il y autant de coachs et de conseils que de métiers et d’activités humaines ! Il faut donc essayer de se renseigner avant d’avancer et bien définir son besoin.
Pour ma part je vous présente Frédéric Dujour, dont l’approche du coaching m’intéresse.
Frédéric focalise sur :
(i) l’autonomie, le leadership et la confiance en soi,
(ii) les nouveaux “modes de faire” pour faire face à de nouveaux enjeux,
(iii) la performance individuelle et collective.
Il distingue l’accompagnement individuel du manager (destiné aux managers afin de leur permettre de mobiliser leur potentiel, développer leur efficacité personnelle et leurs compétences relationnelles, en rapport avec leurs propres objectifs de progrès, les attendus de leur fonction et le contexte de l’entreprise) de l’accompagnement d’un groupe (destiné aux membres de la communauté de managers afin de leur permettre de construire ensemble une représentation partagée de ce que peut être la nouvelle identité d’Entreprises tenant compte : de l’histoire de l’organisation, de ses orientations, de son périmètre, de ses transformations, de ses valeurs, des enjeux liés aux mutations à l'œuvre qu'elles soient technologiques, économiques, sociétales, environnementales, et des facteurs humains).
Pour plus d’information et contacter Frédéric Dujour : fredericdujour@gmail.com
La réflexion du jour: 15 Avril 2020
Le 11 mai 2020, c'est maintenant!
Les entrepreneurs avec qui j’échange régulièrement ont la gentillesse de partager leurs actions pour redémarrer l'activité. Nous allions passer de la pénurie de demandes à la pénurie d’offres, plus marquée si tout le monde redémarre en même temps.
Les points majeurs que je retiens pour une relance aussi efficace que possible:
1- Motiver et impliquer les collaborateurs dans le plan de relance de l’activité: pas d’approche « top-down » mais une vraie démarche collective coordonnée par le management: rappelez-vous également du « chômé – rester motivé », post du 8/4.
2- Mettre en place toutes les règles d’hygiène et de sécurité (masques, gel, distances, …): pas de risque pour les collaborateurs.
3- Arrêter le chômage partiel dès que possible quitte à le redemander plus tard si la situation l’impose.
4- Informer régulièrement tous les salariés et de tous les partenaires.
5- Informer régulièrement les clients et les prospects des avancées de l’entreprise afin de leur donner de la visibilité sur leurs commandes actuelles et futures.
Pas la peine de taper sur des casseroles à 20h tous les jours ou de publier des vidéos pour remercier vos collaborateurs: mettez-les en valeur en les impliquant dans le redémarrage de leur entreprise! Enfin ce n’est qu’un avis.
La réflexion du jour: 8 Avril 2020
Chômage,travail, préparation de l'avenir
Je viens de lire en ligne un article sur des salariés incités à travailler durant leur chômage partiel. Apparemment sur les 470000 entreprises ayant fait la demande, toutes ne manquent pas d’activité … Espérons que cela restera minime, car nous devrons payer, comme les générations futures.
En partageant avec les uns et les autres, je vois qu'une hiérarchie parallèle se crée quand une partie seulement des collaborateurs est concernée, liée à leur rôle durant cette période: les indispensables, les nécessaires, et ... les autres. Je parle bien des rôles, pas des personnes. C’est ce que les personnes ressentent qui est fondamental.
C’est là que le management prend tout son sens, qu’il faut expliquer, animer et motiver: le rôle n’est pas la personne!
Regardons la reprise: quel sera l’impact du chômage partiel (sans parler des fraudeurs)?
Un collaborateur en chômage partiel doit être régulièrement informé par son management, garder le contact avec tous ses collègues, en bref être prêt à redémarrer; bien sûr pas question de lui donner des tâches à accomplir, mais de l’information, du temps, donc de la motivation. Le fameux «tu as de la chance de ne pas travailler» de la part d’un «actif», est destructeur car ils n'ont pas choisi.
Le chômé-travaillé, non. Le chômé-rester motivé, oui, ... mais pas trop longtemps ...
La réflexion du jour: 27 mars 2020
De l’argent comme s’il en pleuvait!
Il y a deux jours, Mme Pénicaud expliquait sur Europe1 qu’un salarié au chômage partiel n’est pas au chômage mais il ne travaille pas son contrat de travail est suspendu si le télétravail n’est pas possible. Trois écoutes du podcast … pas tout compris ; je n’ai peut-être pas mis les virgules au bon endroit …
Quid des entreprises dont les salariés sont en télétravail mais dont les clients ou fournisseurs sont obligés de fermer ? Quid des entreprises pour lesquels la mesure est vitale pour éviter la faillite quand des entreprises qui ont du cash sont autorisées à prendre les mêmes mesures permettant ainsi d’optimiser les résultats en période difficile ? J’ai cru comprendre que le ministère n’avait pas prévu que ces mesures coûteraient deux fois plus cher que prévu pour le premier mois ; mais je dois me tromper …
Serait-il possible de raisonner par filière ? Qui mieux que les professionnels pour calculer et connaître les besoins : les télécoms s’occupent de leur écosystème, idem pour l’automobile, la grande distribution, le luxe, etc… les chefs de file faisant l’analyse du juste nécessaire avec les syndicats professionnels afin que l’état n’abonde que des montants nécessaires et opère les arbitrages. Qu’en pensez-vous ?
Il est logique de payer les futurs surplus d’impôts liés à l’augmentation de la dette pour sauver des entreprises, de l’activité et des emplois (« protège les autres et tu seras protégé »), mais pour préserver dividendes et bonus du management, il faut au moins se poser la question.
L’argent qui pleut n’existe pas aujourd’hui et risque de nous coûter très cher pendant longtemps.
La réflexion du jour: 25 mars 2020
Demain, moins important qu’aujourd’hui ?
Les médias nous abreuvent d’interviews de ministres et autres experts compétents et intelligents (au fait c’est quoi un expert? le débat est ouvert).
L’approche choisie semble être qu’il faut sauver le présent afin d’avoir un avenir, quel qu’en soit le prix. J’espère juste qu’il ne faut pas tout sacrifier pour survivre … car dans ce cas, l’avenir semble bien compromis.
Et que dire de la couverture de « Challenges » : « tout sera mis en œuvre quoiqu’il en coûte » (E. Macron). Franchement, je flippe …
Et si nous changions de point de vue? Plutôt que de partir de l'instant présent et de planifier l'avenir, essayons de nous positionner au jour de la reprise (date inconnue, d’accord, mais est-ce important pour réfléchir ?) et raisonnons à rebours pour déduire ce qu'il est nécessaire de faire aujourd’hui pour conserver suffisamment de ressources pour que la relance soit réussie. Essayez de votre côté et partageons.
C’est un peu comme les stratégies de sécurité : privilégier la protection quand le désastre est avéré ou privilégier les stratégies d'évacuation? En d'autres termes la cuirasse ou l'agilité. L'objectif est le même mais les résultats et moyens mis en oeuvre sont différents.
Préparer demain permet de prendre les décisions d'aujourd’hui, dans les meilleures conditions.
La réflexion du jour: 24 mars 2020
Merci à la bienveillance et à la solidarité, pour les entreprises aussi !
Beaucoup de messages de solidarité sur les ondes et le web en ce moment : partage de stocks de gels hydroalcooliques ou de masques, transformation de lignes de production afin de les produire en plus grande quantité, mise en valeur des héros du quotidien par des applaudissements ou des repas offerts ou des chambres d’hôtel mises à leur disposition gratuitement, etc…
Des dons, de la bienveillance, de l’humanité en fait. Cela fait beaucoup de bien. Il faudra juste être vigilants à ce que le mouvement se poursuivre après la crise.
Comment cette bienveillance se matérialise t’elle au niveau des entreprises, en particulier les plus fragiles ? Beaucoup d’argent mis sur la table par l’état, via la protection sociale, Bercy et la BPI, et des directives auprès des banques. L’état reprend la main, avec une pensée inquiète pour la dette qu’il faudra bien rembourser un jour : mais quand il y a le feu … on n’économise pas l’eau (c’est le ministre qui l’a dit), pourvu que l'on ait un très bon expert-comptable ou un DAF au fait de tout cela.
Qu’en est-il des initiatives privées ? Par exemple les grandes entreprises et leur écosystème avec les sous-traitants, dont beaucoup de TPE et de PME : comment font-elles pour les aider à passer la période ? Les paient elles plus rapidement ou à la « commande » pour les aider à générer de la trésorerie? Leur garantissent elles une visibilité d’activité compatible avec leurs situations ?
Un exemple, j’ai dans mon entourage une PME du secteur de la construction qui, ayant de la trésorerie, a décidé de payer immédiatement les entreprises sous-traitantes les plus fragiles, afin qu’elles puissent verser les salaires de mars; c’est à la fois courageux et réaliste : comment imaginer qu’un redémarrage efficace soit possible sans son écosystème motivé et en forme ?
Et puis en terme d’animation d'équipes, être fiers des décisions de son entreprise pour aider les autres à passer la crise, ça a beaucoup du sens.
Même d’entreprise à entreprise, protéger les autres c’est aussi se protéger soi-même …
La réflexion du jour: 20 mars 2020
Attention au repli sur soi: confiné ne veut pas dire replié !
C’est un danger majeur ! C’est vrai pour chacun d’entre nous, individuellement et collectivement, c’est aussi vrai pour les entreprises .
Nous voyons beaucoup de belles initiatives entre voisins, entre amis ou dans les familles : partages musicaux entre voisins, convivialité mode "video conférence", messages sympas et partagés via les réseaux sociaux, concerts de casseroles le soir à 20h pour célébrer nos héros, … pour garder le moral. Et ça fait du bien !
Mais quelles sont les initiatives des entreprises envers leurs partenaires, leurs sous-traitants, leurs clients ? Quelle solidarité montrent les entreprises fortes et solides vis-à-vis des plus petites, souvent beaucoup plus fragiles ? Il doit y en avoir et il va y en avoir : c’est le moment de les communiquer, en toute simplicité, en partageant les bonnes pratiques.
C’est la qualité des relations que nous mettrons en place lors de cette crise qui créera les condition d’une reprise rapide et efficace !
Un seul mot d’ordre : partageons et appliquons le principe « protégez les autres et vous serez protégés » aux relations entre les entreprises !
L'humeur du jour : 11 mars 2020
Je viens d'entendre une définition de la "startup" que je vous soumets: c'est une entreprise qui vit par la levée de fond, qui est mono projet, qui n'a pas besoin d'être rentable, qui a 9 chances sur 10 de mourir à court ou moyen terme. J’ai également entendu que souvent la différence n’est pas évidente entre startup et PME innovante. Moi qui travaille à pérenniser les entreprises, je vois très bien la différence : la PME, elle doit vivre et gagner de l’argent, coûte que coûte, quand la startup « lève des fonds » (le raisonnement est simpliste, je vous l’accorde, mais il y a une bonne part de vérité … j’ai connu des startuppers décider sciemment de passer à autre chose dès qu’ils n’étaient plus financés …).
Ce que je comprends c’est qu’on encourage le financement de 9 entreprises sur 10 qui vont donc s’arrêter, sous prétexte de trouver la « licorne » de demain. Pour mémoire, en dehors des investisseurs privés qui gèrent leur argent comme bon leur semble, beaucoup des investissements sont publics (nos impôts …) , notamment au travers de la BPI. En dehors des joueurs de casino, qui a la même approche de l’investissement qui ressemble à des dépenses presque à fonds perdus ?
Il y a un consensus actuellement qui identifie en France un manque flagrant de grosses PME et d’ETI pouvant devenir des leader mondiaux. Constat supplémentaire : les jeunes talents préfèrent les grands groupes et maintenant les startups aux PME et ETI.
Les « licornes » ne seraient elles pas ces PME et ETI d’exception à qui on faciliterait la vie pour qu’elles innovent encore plus, plutôt de les freiner ? Je pense que l’investissement serait moindre, et le risque un peu mieux maîtrisé (euphémisme).
Ma conclusion (qui n’engage que moi) : évitons les phénomènes de mode et plutôt que de toujours partir de zéro (principe de la startup), construisons aussi à partir de ce qui fonctionne (principe de la PME et de l'ETI)
New value offer for SMEs: MyDiagFlash© - Please, contact us
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Avodoÿ est Partenaire Officiel du mouvement Le Geste d'Or
Le Geste d'Or est un mouvement international indépendant au service de la préservation et de la mise en valeur du Patrimoine Bâti.
Le mouvement rassemble architectes, ingénieurs, maîtres d'ouvrages, constructeurs, historiens, économistes, ...
Avodoÿ is Official Partner of Le Geste d'Or
Le Geste d'Or is an independant international initiative serving the heritage monuments and buildings.
This initiative gathers the architects, engineers, users and owners, constructors, historians, investors, ...
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Avodoÿ est Partenaire de la société P2H-GLOBAL
P2H-GLOBAL propose une approche intégrée de la maintenance et de l'optimisation de la production.
Parce que la maintenance est stratégique et un élément majeur de la génération de valeur.
Avodoÿ is Partner of P2H-GLOBAL
P2H-GLOBAL implements an integrated approach for maintenance and production optimization.
because maintenance is a strategic issue and a major key factor for value management.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Avodoÿ est Partenaire de la société Elyas Conseil
Elyas Conseil aide les entreprises à trouver les aides publiques afin de financer leur Recherche et Développement.
Parce que le financement de l'innovation est stratégique dans la génération de valeur.
Avodoÿ is Partner of Elyas Conseil
Elyas Conseil assists the Companies' Research and Development in finding the best available public support and financing.
Because Innovation financing is a strategic issue and a major key factor for value management.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Nos missions sont de répondre au "Comment faire pour ..." :
Our commitments are to answer to"How to ..." :
- Etablir un véritable GPS de l'entreprise et son système de navigation intelligent ?
... - Design a real Company GPS and its smart navigation system ?
... - Trouver, motiver et valoriser ses partenaires et ses équipes dans une aventure qui sera unique ?
... - Find, motivate and develop the Partners and the Teams around the Company's project ?
... - Donner sa valeur humaine et sa valeur d'estime, seuls pré-requis à la valeur financière ?
... - Define, state and respect the human, real prerequisite to the Company's financial value ?
... - Etablir son plan stratégique et plan de développement ?
- Define the strategy and the business plans ?
Toutes ces questions pour lesquelles l'Entrepreneur est seul face à la décision :
For all those questions the Entrepreneur is alone when facing the decision :
- Cibler une entreprise s'intégrant potentiellement dans ce plan de développement ?
... - Find the right target to optimize your Business Plan ?
... - Chercher ? Trouver ? Contacter ? Communiquer ses intentions ?
... - Look for ? Find ? Connect ? Express the right message ?
... - Eviter que des équipes se sentent "acheteuses" ou "achetées ou "vendues" quand seul compte le projet commun d'entreprise ?
- Avoid the teams' feeling of being "purchaser", "purchased" or "sold by the management" when only the shared Company's project shall matter ?
Les équipes et partenaires d'Avodoÿ sont tous des dirigeants expérimentés qui ont décidé de vivre l'entreprise différemment.
Avodoÿ's Teams and Partners are senior Managing Officers who decided to envision the Company differently, focusing on the unique criteria: the Company's development shall be shared by all and everyone !